
Honoré d’être dans la sélection finale du Prix JOSEPH KESSEL 2021

On est là …
Merci aux lectrices et aux lecteurs de la médiathèque de Francheville, qui ont choisi « Diên Biên Phù » mon roman premier pour le prix Étincelles 2019, faisant de moi le lauréat de cette année avec ce livre paru en mars l’année dernière chez Sabine Wespieser, et qui continue son chemin vers les cœurs. Ici et ailleurs.
Merci à chacune, à chacun, à toutes celles et tous ceux, qui ont porté et portent cette histoire, libraires, journalistes, bibliothécaires, profs de lettres et de français, camarades de poésie et musique, partenaires à la scène comme à la vie, lectrices et lecteurs.
D’une rive à l’autre.
L’aventure est belle.
Ensemble !!!
Na som jita.
One Love !!!
#BienvenueàDiênBiênPhù
#PrixLouisGuilloux
#PrixDeRoblès
#PrixdesLecteursDeVillejuif
#PrixÉtincelles
On est là …
Dans les pages de la Nouvelle République.
Mon roman premier, « Diên Biên Phù » (ed. Sabine Wespieser), continue sa moisson de prix décernés par des lectrices et lecteurs sensibles à la danse de mes mots. Honoré je suis.
J’ai été fait par ce texte, lauréat du Prix Louis Guilloux, du Premier Roman de Chambéry, Prix des lectrices et des lecteurs de Villejuif, et depuis hier Prix Roblès, joie que je partage avec vous.
« Diên Biên Phù » est paru au printemps de l’année dernière, le 1er mars 2018 exactement. On ne peut jamais savoir quelle sera la vie d’un livre, jamais rien prédire. On peut juste se dire. Se dire et se redire. Différemment.
Se chercher. Se trouver. Se rappeler.
Pourquoi on a eu envie d’écrire.
Et à quel moment, au milieu de partout et de nulle part, au mitan de soi-même, une nuit sans soleil, l’écriture est devenue geste du coeur, nécessaire, urgent, vital.
Pour ne pas mourir noyé en maux troubles. Rester vivant.
Vibrant.
Écrire prolonge mon être. Vers l’autre. Dans le monde.
J’accueille chaque distinction reçue depuis que j’ai emprunté mon chemin d’écriture, avec une gratitude sincère et profonde.
En pensant à ma mère enseignante de lettres et de philosophie à Douala où je suis né, où j’ai poussé mon premier cri de poésie.
En pensant à mon père, premier super-héros de mon enfance.
En pensant à mon adolescence incandescente et à mon rêve de devenir écrivain, à mes premiers textes de RAP sous le manguier à Bonapriso avec Fred, Oscar et Dex.
Il faisait jour clair et beau.
Et il fera toujours jour en moi, parce que j’ai rencontré la poésie. Lumière éternelle, qui dissipe les ténèbres.
J’accueille chaque distinction reçue, en pensant à mes enfants adorés, Ange, Maëlle et Léa, auxquels je souhaite le meilleur dans la vie, l’amour et la tendresse, la liberté au carrefour de chaque instant, la vie elle-même donc.
La vie, qui ne peut s’épanouir en nous que si nous restons en phase et en phrase avec nous-m’aime, si nous entendons, écoutons, portons le rêve qui nous fonde et nous laissons porter par lui.
J’ai publié 7 livres et je rêve toujours de mon rêve d’écrire.
Alors j’écris, juste.
J’écris comme d’autres plantent des arbres.
J’écris. Pour ne pas vivre inutile.
J’écris, et honoré j’accueille chaque distinction reçue, avec l’humilité de celui qui sait que « rien n’est vrai, tout est vivant ». Je n’écris pas pour les prix, en réponse à cette jeune femme hier qui me félicitait de toutes mes récompenses glanées, j’écris pour la vie.
Oui c’est cela, j’écris.
Pour La Vie elle-même.
Merci à mes éditrices et éditeurs (La Cheminante, Mémoire d’encrier, Sabine Wespieser, Bernard Chauveau) qui croient à mes textes et à leur forme originale souvent
Merci aux jurys, lectrices et lecteurs, d’ici et d’ailleurs, et de là-bas aussi, pour le partage du bleu et du feu, les insignes et signes de reconnaissance semés sur ma route.
Heureux, honoré et ému je suis.
Na som jita.
MAOB
One Love !!!
On est là …
Heureux d’apprendre que je suis le lauréat 2019 du Prix Littéraire de la Ville de Valognes, pour mon recueil « De terre, de mer, d’amour et de feu » publié par mon frère poète et éditeur Rodney Saint-Éloi, chez Mémoire d’encrier il y a … deux ans.
Les livres ont des destins qui nous échappent, et c’est tant mieux, j’ai toujours pensé que seuls mes mots savaient où j’allais. Cette nouvelle récompense pour mon travail d’artisan, est une joie claire et une fierté, en partage avec vous, lectrices, lecteurs, ami(e)s, sœurs et frères d’art et d’âmes, rencontré(e)s derrière le poème.
Comme chaque distinction reçue, celle-ci aussi est dédiée à ma mère veilleuse, merveilleuse prof de lettres et de philo, à mon super père, à Ange, Maëlle et Léa, mon feu, ma force, ma foi, ma flamme…, à la team OASSLL et aux Belles Personnes, et à toi, que j’aime.
C’était déjà un honneur pour moi, de figurer dans la liste des nommés, aux côtés du lumineux Christian Bobin, que j’admire profondément. Merci au jury de m’avoir choisi, moi le « p’tit gars de Dool » , et à bientôt, à Valognes, pour fêter. La poésie de la la vie.
One Love !!!
Pour lire l’intégralité de l’article sur Ouest France, cliquez ici
Pour intégralité de l’article sur Le Télégramme, cliquez ici
On est là …
Merci au jury de lecteurs et lectrices pour ce prix qui honore mon travail d’artisan, merci aux ami(e)s des Côtes d’A(r)mor pour l’accueil chaleureux. Toujours.
Merci à la famille de « Choucroute et papillons » pour la surprise. Et les cadeaux. Je suis badgé. Pour l’année.
Et à bientôt sur les routes, invité au festival « Visions d’Afrique » sur l’île d’Oléron du 17 au 19 octobre et au « Salon du Livre du Maghreb » à Oujda au Maroc du 20 au 22 octobre, je me réjouis de reprendre mon tour de France et du monde en poésie. L’aventure est belle. Ensemble !!!