Avec les jeunes de Rosmerta, on écrit, on dit, on rit, on rappe, on danse. On bat des ailes.
Ensemble. Et on pose acte d’humanité juste, soucieuse, respectueuse, accueillante, de l’autre, l’étrange, l’étranger par dépit, par défi, par délit. L’étranger paraît-il, mais ne sommes-nous pas tous des étrangers en somme, étrangers même à nous-mêmes parfois ?
Ici nous sommes, juste des êtres humains tentant d’escalader désastres et chaos.
Des êtres humains tentant de ne pas perdre visages de lumière, dans la nuit du monde.
Des êtres humains tentés par la beauté, et la justice qui « écoute aux portes de la beauté », la dignité pour chacune, pour chacun, pour toutes et pour tous.
Tous les enfants de la terre devraient être protégés, tous sans distinction, avec ou sans visas.
Merci à celles et ceux, bénévoles aux cœurs grands qui œuvrent ici et là, ouvrent les bras.
À des princesses et à des princes sans royaumes, qui s’ignorent seigneurs et hérauts, héros de leurs vies « prises au l’asso de l’existence », leurs vies-leçons de résilience et de résistance.
Les mots-étincelles résonnent, « vivre est un mal nécessaire », « on veut du love, tu cherches de l’or », « je suis en vie », « je dirai à ma mère qu’elle me manque », « je dirai qu’il faut avancer vers l’aurore et non vers l’horreur »… Émoi.
Et moi, je dirai juste.
Merci, na som jita.
Aux amies Chantal de Rosmerta, Elena Ventura de Grains de Lire, pour l’invitation au partage.
Au bro Albert Morisseau Leroy, pour le sens et l’essence que nous portons ensemble, depuis 15 ans. On A Slamé Sur La Lune for life !!!
Ce SAMEDI 6 NOVEMBRE à 19h, les poètes déclament et il fera beau, soleil dans nos voix liées. Ami(e)s de la région, on vous espère en nombre au THÉÀTRE ISLE 80, rue des 3 Pilats.
Na som jita à Soro Solo aîné toujours bienveillant et dandy en chef, Sahad Sarr et son groupe de feu, Olga Yaméogo grande sœur et arrangeuse de potion magique dérangée , Michel Digout, Fatou Kande Senghor, Nathalie M’dela Fournier, Christian Epanya, Chantal et Yves, hôtes incroyables de gentillesse.
Na som jita au public venu en nombre au Théâtre d’Arles, pour l’écoute-osmose.
Prochain rendez-vous de cette édition 2021 sur deux continents, Saint Louis, au Sénégal, en Décembre. Et Il y fera, tout aussi beau.
Après un moment vibrant de partage poétique à deux voix ce matin au Phare de la Gacholle, Albert Morisseau Leroy and me, retrouvons Senny Camara et Christophe Isselee, pour poursuivre nos « Traversé(e)s » ensemble et en musique au Théâtre d’Arles, ce dimanche 31 octobre à 17h30.
Merci au merveilleux festival Paroles Indigo, à Isabelle Grémillet et à toute l’équipe d’organisation, pour l’invitation et l’accueil chaleureux.
Na som jita à Isabelle Grémillet et à toute l’équipe Paroles Indigo pour l’invitation chaleureuse et les idéaux partagés, créer de l’en commun et construire des ponts entre les rives et les rêves, du nord au sud, de l’ouest à l’est d’Eden qui n’existe pas, n’existe nulle part.
Fabriquer nos utopies, ici et maintenant, là-bas aussi, partout, c’est bien de cela qu’il s’agit.
Ami(e)s de la région, on vous attend et vous espère en nombre.
Et on dit Merciiiii, na som jitaaaaa au public qui s’est déplacé hier à la Factorie pour un moment or du temps, riche en mots et en émotions bleues.
On a partagé la tendresse du jour J de la joie et les sourires vrais, qui chantent l’amour.
Fred Ebami, Albert Morisseau Leroy et moi, sommes encore sur un nuage, « De souffle à souffle », création nouvelle du Collectif On A Slamé Sur La, nous porte vers vous.
Bientôt.
Merci à Patrick, Jérôme, Marie, Julie, l’équipe de la Maison de la Poésie de Normandie, pour le bel accueil, à Severine et à Léon (bon bagayyyy), poétesse et poète pour la puissance d’âme de leur geste d’art, aux ami(e)s présent(e)s, à Sandrine Constant, best agent for rêveurs.
Merciiiii aussi à Anne-Gaelle Saliot , Felwine Sarr, et les étudiant(e)s de Duke University qui ont accueilli notre conf’errance hier en visio, peu de temps avant notre entrée on stage.
Big big up à Fred pour sa première, Denzel peut partir en retraite tranquillement… après Macbeth , à Albert pour le travail, de lumière, et de mise en scène, et de comédien, et de poète, et de diseur, et de tout ce qu’il a mis d’énergie, de compétences techniques et de sensibilité dans ce travail, si justement.
Le voyage continue tout à l’heure au Club, 30 Rue de Bourgogne, à Paris, à partir de 20h.